Quelques clichés des différents bâtiments du Gjøvik University College, où je suis en stage de fin d’études pour une durée de 6 mois. L’université comprend une dizaine de bâtiments pour environ 2600 étudiants et 280 employés.
mar 21
Temps calme, mer agitée à peu agitée
Primekey est un havre de paix où l’on peut arriver à l’heure qu’on veut et où la principale menace est Mike, qui dispose près de son bureau d’un pistolet à fléchettes automatique. Une bonne partie du personnel arbore des T-shirts « Free software, free society » et, enfin, lorsque l’on regarde par la fenêtre, c’est bien la ville de Stockholm qu’on voit.
Stockholm, ville enneigée, ville emmitouflée, ville assiégée par l’hiver tenace qui refuse de céder sa place au printemps salvateur, et qui marque le visage de ses vaillants habitants d’un voile de tristesse qui dit combien les garde-manger sont vides et combien la disette est proche. Ô ! Braves habitants de Stockholm, combattante parmi les combattantes, redressez-vous ! Souriez car votre salut est proche ! Réjouissez-vous car de vos mains résistantes, vous vous libérez de ces chaînes glacées qui sont le fardeau des glorieuses peuplades nordiques !
Et soudain :
Ces contrés nordiques sont décidément bien étranges. J’en parlais justement à mon coiffeur avant qu’il ne parte là bas pour ses vacances. Ça fait longtemps que je n’ai pas eu de nouvelles, d’ailleurs. Je devrais lui envoyer un orignal. Oui, les suédois communiquent par orignals. C’est un peu le Gigabit de la Laponie (pour ainsi dire). On attache ce qu’on veut au cou du bestiau, une petite tape sur la croupe et l’orignal part secouer Gilles, faut bien. Sacré animal, il n’y a pas à dire.
Corentin
mar 21
On the road again
Éclatons solennellement une bouteille de jus de pomme sur le header de ce site web, afin d’en inaugurer l’auguste mais peu Samuélien contenu. Et passons aux choses sérieuses.
1 Pavé introductif pompeux et ennuyeux
Il n’y a pas si longtemps, nous avons été mus, mon collègue Aurélien et moi-même, par une soudaine envie de voyager et de courir le monde afin d’aller au devant de nouvelles aventures passionnantes. Nos camarades qui se trouvaient alors dans la même situation scolaire que nous, choisissaient plutôt leurs stages respectifs aux alentours de Paris, cité endiablée, dans le but de se faire introduire in fine durablement dans le petit monde des affaires ploutocratiques (Merci à Jean Michel Apathie pour le mot de ploutocratique qui m’enchante). Malheur à nous qui, comme d’autres, avouons-le d’emblée, ne supportons la capitale des Gaules et redoutions de nous y trouver enfermés sans pouvoir échapper à sa cacophonie. Il nous est donc venu l’idée ingénue de partir plus loin, de partir plus grand. Nous aurons certainement l’occasion de revenir sur les péripéties qui furent notre lot quand il fallu dénicher non plus seulement une destination de rêve, mais des choses à y faire, c’est à dire un employeur. Pour l’heure, le plus important et que ces recherches furent couronnées de succès, aussi improbable que cela paraisse. Et nous décidâmes de nous rendre en Norvège, puis en Suède en … voiture.
2 Le saviez vous ?
L’occasion est donc bonne pour s’adonner à une petite étude anthropologique des mœurs de conduite dans l’union européenne.
2.1 La France, tu payes ou tu la quittes
Peu de choses à dire sur ce pays que nous connaissons bien de par nos origines. Le départ, à pleine charge, fut un instant chargé en émotions. Vives, inutile de préciser …
État des routes | Bon. Nous avons en France non seulement des autoroutes quasiment neuves (elles peuvent se le permettre, vu leur coût) mais également un réseau secondaire complet, ce qui n’est pas systématique |
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Aires de repos | Grandioses, immenses, suréquipées, nos aires de repos sont un fleuron Français ! Pourtant, on s’y sent comme en prison et certaines sont très sales. Leur espacement est également plus important qu’on ne croit. |
Citoyenneté | On se comprend … C’est déjà ça … |
Prix | Très élevé. Beaucoup trop élevé, même. En bon gauchiste, je compte bien revenir plus tard sur ce scandale. |
2.2 L’Allemagne, terre de tous les dangers
Nul n’ignore que le puissant lobby automobile Allemand pousse les autorités à laisser de nombreux tronçons d’autoroute totalement dépourvus de limitations de vitesse. Comme quoi, il existe des pays encore plus beauf que le notre ou les tués sur la route ne font pas reculer les propriétaires de puissantes berlines. Toutefois, outre l’étape de Kassel qui fut pour nous très traumatisante, nous avons traversé la région sans encombre.
État des routes | Autoroutes constamment en travaux sur des kilomètres et des kilomètres. Absence totale d’un quelconque réseau secondaire. Les nationales ne servent qu’à atteindre de petits bled paumés. |
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Aires de repos | Cheap de chez cheap. Une aire de repos en Allemagne ? 10 mètres de bretelle, un parking et une poubelle. Les distributeurs de boissons, quand il y en a, sont hors de prix, mais le sucre et les touillettes sont à volonté. (Imaginez ce qui se passerait en France si les touillettes étaient à volonté !) Cependant, les aires sont très fréquents, pas de problème pour s’arrêter au moindre menu pépin. |
Citoyenneté | On repassera ! Deux ennemis demeurent tapis dans l’ombre : À droite, les poids lourds, qui ont la fantaisie de se doubler sur des bornes et des bornes, et à gauche, les Audistes, c’est à dire tous ceux qui roulent à 180km/h. De quoi stresser son homme ! Sans compter que les ralentissements soudains sont légions, ce qui éprouve les freins de la voiture lorsque la vitesse de croisière se situe plutôt aux alentours de 140km/h … |
Prix | Gratuit ! Pas un péage à l’horizon, j’en suis encore guilleret ! (Le gazole plombe néanmoins les finances à lui seul) |
2.3 Le Danemark, pays de grève
Le trajet Allemand ce sera finalement terminé à Puttgarden, qui n’est ni un jardin, ni une maison close, mais l’embarcadère pour le ferry vers Rödby, au Danemark. On devait être hors saison puisqu’en vérité, il n’y avait pas un chat. Il faut dire que la traversée du pays ne s’est pas éternisée …
État des routes | Les autoroutes Danoise sont vieilles, mais en fort bon état (Alex, si tu nous lis …). Il faut dire que le trajet que nous avons suivi était pour ainsi dire seulement un transit, ce qui se ressent au niveau du prix. |
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Aires de repos | Les aires Danoises sont très similaires aux Allemandes. Simplicité, taille réduite, mais efficacité somme toute appréciable. Notons que c’est sur une aire Danoise que nous avons constaté la mort définitive du lecteur K7. Aurélien s’enferma alors dans un mutisme profond, marque d’un rude choc émotionnel. |
Citoyenneté | Alors alors alors, les p’tits Danois, hein ?? On est des coquinous ! Alors pour les étrangers, on affiche de jolis panneaux 110, vitesse insssssupportablement faible quand les autoroutes de ce pays plat de chez plat ne sont que de grands sillons rectilignes, mais dès qu’on a le dos tourné, tout le monde roule à l’Allemande ! Fripons, va ! |
Prix | Gratuit … Mais néanmoins le tronçon le plus cher du voyage, sans compter l’essence. Ah ! Gens venus de l’étrangerie, vous ne faites que passer dans notre pays pour aller en Scandinavie ? Eh bien mangez-vous donc le ferry à 80€ et le pont au même tarif ! |
2.4 Norvège, singulière nation
Je parlerai de la Suède ensuite car j’y suis retourné de jour …
Ah ! La Norvège ! Tout a commencé à la frontière, lorsque le douanier (notre premier douanier, au demeurant), lorsque le douanier, donc, effaré, incrédule, nous a demandé dans un anglais presque incompréhensible ce que nous pouvions bien aller foutre à Gjövik, petits Français à bord d’une Peugeot écrasée par son chargement musical. Je laissait pour l’occasion Aurélien se démerder pour expliquer vaguement qu’il ne s’agissait pas d’un canular, que c’était que pour six mois et que, promis, il ne ferait pas trop de bruit avec ses guitares.
État des routes | Les routes et autoroutes Norvégiennes sont relativement bonnes, bien que très poussiéreuses en cette époque de fin d’hiver. Pensez à faire le plein de lave glace avant de partir … Sable, crasse et sel couvriront bien vite toute votre voiture. Notez que ce sont surtout des nationales que nous avons parcourues en Norvège, Gjövik ne disposant pas (encore) d’une liaison autoroutière … |
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Aires de repos | Très curieusement, il n’y en a pas vraiment, ou plutôt, il s’agit de stations services situées près des sorties. En Norvège, le mode de paiement étant bien différent, point besoin de construire ces grandes infrastructures. Envie de s’arrêter ? Eh bien il suffit de sortir de l’autoroute par la première sortie venue et un petit parking s’y trouvera probablement. |
Citoyenneté | Limitation de vitesse à 100km/h maximum dans tout le pays, 80km/h pour les nationales. Mais, me direz-vous, pourquoi s’évertuer, dans ce cas là, à construire de puissantes autos et de larges autoroutes, étant donné qu’un troupeau de vaches suffisamment affamées et ragaillardies par la ferveur du groupe pourrait sans peine talonner les onéreux véhicules motorisés ? Eh bien on se le demande encore. Seuls dépassements autorisés : les cas exceptionnels de tracteurs roulant pour le coup à 30km/h. La neurasthénie est totale. |
Prix | Gratuit ! Enfin non. Payant, avec un système automatique de caméras qui prennent votre plaque en photo et vous envoient la facture. Seulement … Eh bien le format Français n’est pas géré ! Libre à vous, donc, de passer sous les impressionnants portiques-webcam en arborant fièrement votre plus beau bras d’honneur. Attention, néanmoins, j’ai quand même reçu une facture de 2€ pour la traversée d’un pont … Le système ne se laissera sans doute pas faire longtemps ! |
2.5 Last but not least, la Suède
Notre premier passage en Suède, principalement de nuit, nous a montré un pays très raisonnable dans lequel la conduite est agréable et les gens sympathiques (car absents). Nous nous sommes alors pris à discuter de tout et de rien, bercés, tantôt par les volutes de brume qui effaçaient parfois devant nous la chaussée pour quelques secondes, tantôt par Eugène, le thermomètre de la voiture dont les indications n’ont pas correspondu une seule fois au cours de notre voyage à celles des thermomètres publics que nous avons croisés. Notre arrivée à Göteborg fut certes pour le moins aventureuse, mais jamais en raison des routes, toujours satisfaisantes.
État des routes | Même constat qu’en Norvège, les routes sont très poussiéreuses et il y a finalement peu d’autoroutes et beaucoup de nationales. Elles sont néanmoins en relativement bon état, compte tenu du gel, saccageur de bitume. |
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Aires de repos | Même combat qu’en Norvège. Entre Gjövik et Stockholm, j’ai néanmoins eu l’occasion de m’arrêter dans des endroits sublimes, en bordure de lacs gelés parcourus parfois de patineurs sauvages, ou la route toute proche se fait totalement oublié au profit de la nature et des lumières rasantes, chose peu commune pour une aire de repos, traditionnellement peu enclines à ce qu’on y reste par plaisir. |
Citoyenneté | À mon sens, la Suède se rapproche de la perfection en la matière. L’objectivité qui est en toutes circonstances la mienne, peine à trouver un quelconque défaut à ce pays. La limitation est de 120km/h, ce qui est parfait pour être détendu tout en n’ayant pas l’impression de se traîner et les Suédois sont très accommodants et ne rechignent pas à taquiner les 140km/h lorsque les conditions s’y prêtent. Les longues files de voitures quasiment à l’arrêt que l’on trouve parfois devant son capot sont généralement le fait d’un Norvégien qui n’a pas très bien compris qu’il n’y avait que dans son pays que l’on pouvait rouler sciemment en dessous de la limitation. Un petit coup de clignotant résout alors bien vite le problème. |
Prix | Bien que, comme précisé, les parcours comportent plus de nationales que d’autoroutes, la gratuité est de rigueur partout et cela est très agréable. Le prix du gazole fait malheureusement frémir, surtout quand on prend la peine de le convertir en Euros (rappelons que les Suédois ont leur propre monnaie). |
3 Conclusion
Il me semblait intéressant de faire une petite description de ce que j’ai vu sur la route durant notre long périple, bien que, maintenant que c’est fait, je me dis qu’il m’aurait également plu de conter simplement notre voyage, sans me focaliser sur les bagnoles. Cela viendra peut être, Aurélien ayant déjà posté des photos et étant très porté sur le roman épique. J’omets bien des choses techniques, concernant la voiture, mais leur rappel exhaustif serait encore plus barbant qu’il ne l’est déjà et je m’en abstiendrais donc. Je ne prends pas non plus la peine de traduire cet article en Anglais. Je sais qu’Aurélien, toujours lui, aimerait bien faire de ce site un blog bilingue, mais je n’y crois pas une seule seconde et je lui ris au nez (pas trop fort, quand même, vu que c’est lui qui a fait tout le boulot pour le site).
Je vous dis donc à bientôt pour d’autre aventures légendaires !
Corentin
mar 20
France-Norvège
Banzaï !
A peine eu le temps de finaliser l’installation de WordPress via FTP chez l’hébergeur Toile Libre que déjà le collègue Corentin avait déjà pondu un article fort copieux et fait la promotion du site sans modération aucune…
Désormais satisfait par l’apparence du blog/site/appelez-le-comme-ça-vous-chante et ayant inclus un sympathique plugin de gestion de galeries d’images, je vais pouvoir m’atteler à la rédaction d’articles et équilibrer un peu la balance !
Les lignes qui suivent présenteront donc notre voyage à destination des pays scandinaves (Gjøvik, Norvège pour Aurélien et Stockholm, Suède pour Corentin).
Du camembert aux drakkars…
La tempête avant le calme
Le dernier « vrai » semestre à l’ENSICaen s’est quelque peu terminé sur les chapeaux de roues, si l’on considère le cumul des joyeusetés suivantes : rendu et soutenance de projet recherche, partiels de l’ENSI, partiels de l’Université de Caen, nettoyage, déménagement et cessation des logements, formalités administratives, préparatifs du départ et achats de dernière minute … C’est donc dans une joyeuse pagaïe que se sont déroulés nos derniers jours dans la ville de Caen, en témoigne la photo suivante ! Bien que cela ne saute pas aux yeux dès le premier regard, on notera cependant l’apparition d’un nouveau genre musical non encore répertorié, le « je gonfle mon matelas en battant la pulse sur un riff de funk bass qui groove à donf ».
Jour 0
Mon collègue ayant la bonne idée de résider dans les alpages grenoblois, et bibi dans la province angoumoisine, c’est donc grâce aux services de nos aminches de la Essènecéhèffe que j’ai rallié l’Isère, non sans y laisser quelques degrés au passage.
Jour 1
Après avoir rempli la sublime 306 break gris métallisée toute neuve achetée d’occasion sur LeBonCoin par Corentin au moins deux semaines avant le départ avec le maximum de guitares basses pianos PC bagages, c’est frais et dispos que nous nous engageons sur les premiers kilomètres d’un trajet qui en comportera quelques trois mille !
– Corentin, une semaine avant le départ : « Heu, par contre, j’ai juste un autoradio K7, t’as pas un machin là, pour brancher un mp3 sur un autoradio ? »
– Aurélien : « Holà, malheureux ! Allons donc piocher dans mon stock perso ! «
Ce sont donc une bonne trentaine de cassettes vintage toutes plus WTF les unes que les autres qui vont rythmer le trajet, à moins que !?
(Suite au prochain épisode)
Sur le trajet lui-même, pas grand-chose à raconter, c’est uniquement de l’autoroute, on voit donc défiler des paysages plus ou moins intéressants, ponctués de pauses sur des aires plus ou moins vastes mais ne donnant pas nécessairement envie de s’y attarder. Une mention spéciale pour l’Allemagne, où tout n’est qu’autoroutes, luxe, calme, volupté et zones industrielles aux remugles douteux…
Nous avions initialement prévu de nous arrêter à Darmstadt pour passer la nuit dans une auberge de jeunesse (Jugendheberge), mais celle-ci, à notre grand désarroi, affichait complet ; nous avons donc poussé jusqu’à Kassel, brillante idée s’il en est !
En effet, nous nous sommes vus errer de zones industrielles en zones résidentielles, en passant par la pampa la plus profonde, avant de finalement trouver la route menant au centre-ville, où l’on a eu l’amabilité de nous indiquer l’auberge de jeunesse, encore ouverte malgré l’heure bien avancée (autour de 23h ^_^ ).
Jour 2
Après un bon petit déjeuner bien copieux dans la Jugendherberge de Kassel, nous reprîmes la route, avec au programme, la traversée du Danemark (ferry, ponts) avec le but avoué de rallié la Suède !
De l’Allemagne, nous avons rejoint le Danemark via le ferry de Puttgarden (je me dispenserai de toute blague tendancieuse, non par politesse, mais parce que celle-ci à déjà été faite par mon collègue). Compter la modique somme de 80€ pour un véhicule quadrupède de type voiture, ce pour une traversée de 45 min, qui nous a permis de déguster les cookies préparés par Coline, sœur cadette de Corentin .
Le Danemark, ça a l’air rigolo, mais en fait les autoroutes ne donnent pas vraiment envie de s’y attarder : pas grand-chose à voir sur la route, à part quelques grévistes (voir photos en fin d’article). Cette étape aura aussi été marquée par les derniers soubresauts de l’autoradio K7 de la 3-6, paix à son Ohm. Le pauvre n’a décidément pas dû supporter la lecture répétée de Jazz-Fusion !
Le passage du Danemark à la Suède se fait par le pont de Malmö, là encore pour une somme ridicule de 43€.
Une fois en Suède, pas grand-chose à raconter non plus : direction Göteborg, où l’on avait prévu de passer la nuit. Et là, c’est le drame ! Là où l’on s’attendait à tomber sur une sympathique petite bourgade, c’est dans une immense ville portuaire hostilement grande que nous nous retrouvons, complètement paumés, et impossible de mettre la main sur un quelconque plan !
Mais, grâce à l’amabilité des passants suédois (si l’on met de côté le fait que jamais nous n’avons reçu deux fois les mêmes indications, adresses et itinéraires), nous avons là encore réussi à trouver tant bien que mal l’auberge de jeunesse de Göteborg… Comme quoi, le GPS, c’est vraiment pas du luxe quand on part vadrouiller dans des contrées lointaines !
Day 3
Un peu las de bouffer des kilomètres d’autoroutes, nous avons décidé de ne pas nous attarder à Göteborg, et avons remis l’éventualité d’une visite chez Sarah et Gildas (en stage à Oslo) à une date ultérieure non encore déterminée, et avons tracé sur Gjøvik, lieu de mon stage, où m’attendaient les clés de mon logement.
Nous nous sommes permis lors de notre arrivée à Gjøvik, d’importuner le jeunôt en poste à l’office de tourisme, visiblement pressé de finir sa journée/semaine, afin de dégoter quelques informations, notamment l’adresse de l’université, où nous attend Christoffer, un « International Buddy » chargé de récupérer les clés du logement pour notre arrivée…
Photos prises sur la route
– Aurélien : « C’est une bonne situation, ça, copilote ? »
Sur l’autoroute, pas grand-chose à faire, regarder la carte de temps à autre, changer les K7, bavarder… ça laisse donc du temps pour prendre quelques clichés, pour peu que l’on trouve quelque chose dont l’intérêt photographique soit plus ou moins justifiable.
mar 20
Il suffit !
Halte !
Halte au misérabilisme décadent de nos sociétés en pleine déconfiture ! Cessons là nos atermoiements et nos complaintes qui ne sont que d’affreux borborygmes !
Gandhi